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Cake day: August 31st, 2023

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  • Ce qui est grave, c’est qu’il est impossible d’échanger un billet avec correspondance sur SNCF connect. Je fais régulièrement le trajet Rouen Bar le duc et systématiquement, il y a toujours des soucis et les services Nomad/inouï/ter grand Est sont séparés donc impossible d’échanger l’ensemble. Par contre en allant voir un humain au guichet de la gare tout ce règle en un coup de cuillère à pot. D’un côté, on t’oblige à passer par le site, d’un autre le site ne propose pas le service le plus simple du monde : échanger ton billet quand ton train est annulé.

    Enfin, le pire que j’ai vu c’est un gars a Saint Lazare qui n’ayant pas son tel voulais changer son billet numérique pour une version papier. Les agents l’on renvoyé sur une borne…qui lui a signifié que sont nouveau billet lui avait été envoyé par mail. Le mec était fou !





  • Ah ah, tu m’as mal comprise, je ne change pas de boulot ! J’adore mon travail dans la création et tant que j’arrive à en vivre je ne suis pas prête à laisser tomber. Je fais partie d’un collectif d’artistes, je bosse quasiment en auto prod et on monte des collectifs de compagnies pour gérer des cours dans les festivals promotionnels ( Aurillac, Châlons) Du coup quand on m’a branchée sur un projet de supermarché collectif, j’ai plongé bien évidemment. Donc voilà, c’est justement le financier qui tranche ce qui est prioritaire ou pas, le temps c’est de l’argent. Mais il y a aussi un autre point très important c’est savoir si le projet te donne de l’energie en retour ou au contraire ne fait que de te pomper.

    Le projet de supermarché est vraiment vraiment passionnant et comme justement je n’ai pas de projet de salariat cela me permet de mettre le stop des que cela empiète de trop sur mes engagements pro, ma vie de famille ou mon moral car les désillusions sont nombreuses.

    Reste a gérer sa frustration d’abandonner certaines choses où l’on a investi beaucoup, mais d’une manière générale si une bonne idée n’a ni écho ni relais au sein du collectif, c’est souvent que ce n’est juste pas le bon moment.



  • Je participe au montage d’un supermarché cooperatif et ça me fait bondir de lire des commentaires comme ça.

    1. C’est Amazon qui met en danger le travail des caissières. Leur projet c’est le supermarché sans caisse et ce a une échelle mondiale, dans une volonté de s’accaparer le marché extrêmement juteux de la consommation alimentaire. Inutile de préciser qu’ils se contrefichent complètement de piétiner les salariés comme la planète. C’est dingue de pointer du doigt les supermarchés coopératif alors que le but est justement de construire une alternative viable au monopole des géants de la grande distribution.
    2. Les 3h par mois ne sont pas des heures de travail, la seule obligation est la présence mais si tu veux rester assis à lire un bouquin, c’est ton choix. Tu n’es pas un subordonné et personne n’a le droit de te donner d’ordre. Simplement le modèle repose entièrement sur la participation des sociétaires, on demande donc cet engagement pour avoir le droit de faire ses courses dans le magasin. Il y a des dispenses pour maladie, congés maternité, deuil ect… des aménagements pour souci de santé ou handicap, droit a la retraite.Tu peux prendre des congés autant que tu veux en demandant le “gel” de ton compte.

    Donc non, les supermarchés coopératifs ne participent pas a l’uberisation de la société.